le groupe
Mr Day
On connaît Mr Day en tant que chanteur du combo jazz « Metropolitan Jazz Affair », clef de voûte du trio vocal « The Dynamics », pour ses disques Electro Soul sur le label Rotax, ainsi que pour ses brillantes apparitions sur les productions de Boozoo Bajou, Patchworks ou Mr President ! Favorite Recordings présente aujourd’hui « Small Fry » premier album solo très attendu de Mr Day.
Dès la première piste, le ton est donné: avec « Tears of Joy », on croirait entendre les Who rendrent un hommage à Smokey Robinson! Cette image résume à elle seule l’atmosphère et et le parti pris de Mr Day sur cet album: un disque de pure soul music, allant du plus suave au plus rugueux, mais gardant toujours cette élégance qui fait de Mr Day le dandy le plus « British » du territoire français!
Ce disque a été enregistré live avec les musiciens qui l’accompagnent sur scène : Remy Kaprielan, à la batterie, Raphaël Chambouvet aux claviers et l’éternel complice Patchworks à la basse, qui a également produit le disque dans une veine chaleureuse, avec ce son vintage qu’on lui connaît.
« Small Fry » évoque les classiques de la soul music (de Curtis Mayfield à la Motown, de la Northern Soul à la West Coast) sans pour autant être un disque de genre. Les registres musicaux, les ambiances sont larges, riches. Les compositions et la production ne tombent ni dans la facilité, ni dans la répétition. Le producteur Patchworks prétend à ce sujet avoir voulu un « album profond, ambitieux et complet, à la hauteur du talent de Mr Day ».
Les titres qui composent cet opus nous font voyager du plus doux (« That’s How I Feel About You », ballade irrésistible) au plus tendu (« Tears Of Joy » ou « Heaven Knows » mêlant à merveille puissance et mélodie). Des titres tels que « Precious » ou « Soul on Wax » témoignent du talent de song writer de Mr Day, qui à l’instar de la Motown, sait séduire le grand public avec une soul music authentique.
Les trois reprises balisent aussi le terrain entre la pop élégante du « Spooky » de Dusty Springfied et la soul du sud plus rugueuse du « Get your Point Over » de Sebastian Williams, jusqu’au tube « Get it On » des précurseurs du Glam Rock, T Rex, rejoué ici avec un son West Coast qui rappellerait presque Steely Dan.
Enfin, « Both Sides » conclue cet album avec une ballade folk imparable, évoquant les univers de Nick Drake ou encore de John Martyn.
Dès la première piste, le ton est donné: avec « Tears of Joy », on croirait entendre les Who rendrent un hommage à Smokey Robinson! Cette image résume à elle seule l’atmosphère et et le parti pris de Mr Day sur cet album: un disque de pure soul music, allant du plus suave au plus rugueux, mais gardant toujours cette élégance qui fait de Mr Day le dandy le plus « British » du territoire français!
Ce disque a été enregistré live avec les musiciens qui l’accompagnent sur scène : Remy Kaprielan, à la batterie, Raphaël Chambouvet aux claviers et l’éternel complice Patchworks à la basse, qui a également produit le disque dans une veine chaleureuse, avec ce son vintage qu’on lui connaît.
« Small Fry » évoque les classiques de la soul music (de Curtis Mayfield à la Motown, de la Northern Soul à la West Coast) sans pour autant être un disque de genre. Les registres musicaux, les ambiances sont larges, riches. Les compositions et la production ne tombent ni dans la facilité, ni dans la répétition. Le producteur Patchworks prétend à ce sujet avoir voulu un « album profond, ambitieux et complet, à la hauteur du talent de Mr Day ».
Les titres qui composent cet opus nous font voyager du plus doux (« That’s How I Feel About You », ballade irrésistible) au plus tendu (« Tears Of Joy » ou « Heaven Knows » mêlant à merveille puissance et mélodie). Des titres tels que « Precious » ou « Soul on Wax » témoignent du talent de song writer de Mr Day, qui à l’instar de la Motown, sait séduire le grand public avec une soul music authentique.
Les trois reprises balisent aussi le terrain entre la pop élégante du « Spooky » de Dusty Springfied et la soul du sud plus rugueuse du « Get your Point Over » de Sebastian Williams, jusqu’au tube « Get it On » des précurseurs du Glam Rock, T Rex, rejoué ici avec un son West Coast qui rappellerait presque Steely Dan.
Enfin, « Both Sides » conclue cet album avec une ballade folk imparable, évoquant les univers de Nick Drake ou encore de John Martyn.
