Presse

Ghetto girls

Cécile joue avec son cerceau rouge. Cette fois ci Cécile le maintient verticalement dans son dos à l'aide de ses bras écartés qui suivent l'arrondi du cerceau.
Cécile en répétition

 

Stanislaw Wisniewski expose son fascinant Le monde septembrisait en octobrisant lentement vers novembre, magnifiquement interprété par Cécile Pégaz : une expérience qu’il est rarement donné de faire à un spectateur.
Marie Chavanieux, La Terrasse, janvier 2009


La rencontre entre Stanislaw Wisniewski et son interprète Cécile Pégaz témoigne d'audace. Dans un solo intimiste... Une Lolita au regard sombre tente de s'arracher à ses obsessions... se dilate, se rebelle, si intense et si sincère qu'on la découvre toujours... C'est minimaliste, et c'est immense."
Thomas Hahn, Danser, janvier  2007

"…Interprétation hors pair... La danseuse se transforme en une icône vivante… Transfigurée par la scène et galvanisée par la musique enivrante, elle délivre un flux incessant d'émotions contenues... Ici opèrent la sensualité, la présence et la "défonce" du corps en représentation, et en interactivité avec le public... Une empathie qui saisit le spectateur et ne se relâche jamais… médusé par une telle performance… Ici tout est vrai, rien n'est simulé"  Geneviève Charras, Turbulences Vidéo, octobre 2006

"...Proposition parfaitement radicale… Quelque chose de dramatique et de troublant naît de la répétition elle-même et ce quelque chose est délibéré... pas sans changement… une danseuse exceptionnelle… une danse retenue et exigeante... L'expérience est passionnante…"
Philippe Verrièle, Les Hivernales, Point Danse, juillet 2006

"...Là où le danseur rend possible l'expérience du temps et lui donne un visage, le chorégraphe peut se permettre de le modeler, de le comprimer, de le dilater ou encore de le déconstruire. L'un des exemples les plus marquants de la saison passée est un solo absolument radical du chorégraphe polonais Stanislaw Wisniewski qui porte le titre surréaliste d'une citation de Witkiewicz : "Le monde septembrisait en octobrisant lentement vers novembre".  Ici,  Cécile Pégaz répète apparemment à l'infini une boucle, jusqu'à ce que le spectateur en perde la sensation du temps. Elle est l'image-temps et l'image-mouvement deleuziennes à la fois. Sur l'affiche, sa silhouette se découpe en bandes parallèles décalées. Cette image résume tout : le lien déchiré au monde, l'équidistance de l'intervalle, la fin des  hiérarchies ..."
Thomas Hahn , Ballettanz, Hors-série "Le temps suffit" septembre 2007


"…Stanislaw Wisniewski conjugue avec bonheur rigueur formelle et propos dans une approche empreinte d'une grande sensibilité. Ses chorégraphies touchent par leur justesse et par la place qu'elles offrent à l'imaginaire de chacun… Il possède l'intelligence de la musique et qui plus est, de la musique d'aujourd'hui. Il embrasse avec courage des oeuvres contemporaines, leur redonne sens sans tomber dans les travers de la tautologie ou de la négation. Stanislaw Wisniewski est un chorégraphe aux qualités rares qu'il ne faut pas manquer".
Pierre Alain Jaffrennou, compositeur, Directeur du GRAME


"…Une forte concentration ambiante…. Un vaste répertoire de mouvement… Wisniewski fait la preuve de sa capacité à concevoir des compositions élaborées à travers un espace limité…"
Terry Grimley


“La danse chatoie aux couleurs de Pestel”
/The Birmingham Post


"Stanislaw Wisniewski est presque un chorégraphe à suspense. Ce qui ne signifie pas qu'il utilise effets spéciaux et grosse machinerie. Au contraire… Il exerce son art avec une maîtrise qui tient le spectateur en haleine. Un peu comme un bon vieux roman de la Série noire… Gestuelle inventive, écriture complexe, mais limpide, servie par une solide interprétation…"
Anne Masson / Danser


"… Nous renvoyant au monde de l'image toute puissante... avec une liberté d'interprétation laissée au danseur et au spectateur… Wisniewski nous invite à co-produire du sens… "
Nass. Hassani / Le Progrés


"…Il met en scène notre histoire par le corps notre devenir intime et collectif à la fois… des jeunes gens à la découverte de leur subjectivité face à une époque moderne et fonctionnaliste…" Françoise Chaumet / Le Progrés