Je crois que dehors, c’est le printemps

À propos

En Suisse, Irina menait une vie paisible avec son mari et leurs deux filles. Jusqu’au jour où tout bascule : son mari disparaît avec les enfants. Il sera retrouvé sans vie mais pas les fillettes.

Sans corps, pas de deuil possible, Irina se débat entre l’espoir secret de retrouvailles et l’abîme de la douleur. Autour d’elle, l’indifférence, l’oubli, et la froide mécanique des procédures rendent chaque jour plus rude. Elle vit suspendue entre l’insoutenable tragédie d’une mère et le désir de vivre à nouveau.

Dans ce seule-en-scène bouleversant, Gaia s’empare de cette histoire vraie avec une délicatesse rare. Elle donne voix et chair au combat silencieux d’une femme confrontée à l’absence, à la solitude, à l’impossible.

« Je suis vivante. La douleur toute seule ne tue pas. Il faut être heureux pour tenir tête à cette douleur inconcevable. Il faut de la peur pour avoir du courage. »

Distribution

• Avec Gaia Saitta
• Mise en scène : Gaia Saitta, Giorgio Barberio Corsetti
• Texte : Concita de Gregorio
• Adaptation théâtrale : Gaia Saitta
• Collaboration artistique : Cécile Lassonde
• Scénographie : Giuliana Rienzi
• Costumes : Frédérick Denis
• Création lumières : Marco Giusti
• Création son et régie lumière : Tom Daniels
• Vidéo : Igor Renzetti
• Régie générale, plateau et vidéo : Pierre Ottinger

Coproduction

Théâtre National Wallonie-Bruxelles, Les Halles de Schaerbeek, If Human (Bruxelles), Le Manège – Scène Nationale de Maubeuge, Théâtre National de Nice – CDN Nice Côte d’Azur

En vidéo