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Faraëkoto

6e Dimension - Cie de danses urbaines

Faraëkoto

À propos

Proche du conte d’Hansel et Gretel, ce spectacle mêle la danse, les mots et la vidéo.

Tout commence dans la forêt profonde. Elle c’est Fara, une fillette aux jambes molles, interprétée brillamment par Sandra Geco, tout en caoutchouc. Lui, c’est Koto, un jeune garçon qui ne peut pas parler, interprété par Giovanni Léocadie, breaker tout en fluidité.

La danse hip-hop est au cœur de l’engagement de la chorégraphe Séverine Bidaud qui, dans ce conte, exprime le handicap comme un véritable langage du corps.

Un conte inspirant et optimiste pour toutes et tous sur la différence et la relation à l’autre, qui invite à rêver et à réfléchir.

Distribution

  • Chorégraphie : Séverine Bidaud
  • Textes et conseils dramaturgiques : Marion Aubert
  • Interprétation et création : Sandra Geco et Giovanni Léocadie
  • Aide à la chorégraphie : Joëlle Iffrig
  • Assistante écriture et documentation : Jane-Carole Bidaud
  • Création lumières, scénographie, régie générale : Esteban Loirat
  • Création vidéo : Pascal Minet
  • Création musicale : Natyve
  • Costumes : Alice Touvet

Coproductions

La DRAC Normandie, La Région Normandie, Le Département de Seine-Maritime, Le Sillon de Petit-Couronne (76), Le Piaf de Bernay (27), Le Théâtre des Miroirs à La Glacerie – Cherbourg en Cotentin (50), L’Expansion artistique – Théâtre Charles Dullin à Grand-Quevilly (76), C3 – Le Cube à Douvres-la-Délivrande (14), Théâtre Jacques Prévert à Aulnay-sous-Bois (93), C’est Coisel?, de Saint-André-sur-Orne et Saint-Martinde-Fontenay (61).

Mentions

Crédit photo : Patrick Berger

En vidéo

Faraëkoto

La presse en parle

Grâce à l’interprétation des deux danseurs, d’une grande technicité, mêlant hip-hop, danse de contact et influences contemporaines, on devine le drame, la profondeur de l’attachement, la peur et la joie d’être ensemble

Télérama

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