Centre culturel Charlie Chaplin
Place de la Nation
69120 Vaulx-en-Velin

tél : 04 72 04 81 18

L'assemblée des femmes

| Aristophane

une femme, casquette bien enfoncée sur la tête, lit l'équipe... cliché masculin par excellence
Cécile lit l'équipe

Dans cette nouvelle création  il sera question de la place des femmes dans la cité, de leurs rapports au pouvoir, à la démocratie, aux hommes... et vice versa.
Le point de départ : « L’assemblée des femmes » d’Aristophane.
Utopie et satire, cette comédie antique fait l’hypothèse joyeuse d’un coup d’état féministe.

À l’aube, des femmes parées de barbes, vêtues de manteaux et de souliers dérobés à leurs maris sont réunies pour se rendre à l’assemblée du peuple (des hommes) et y faire adopter la décision de confier le pouvoir exclusivement aux femmes.
Au matin, des hommes s’éveillent, contraints pour sortir de chez eux de se vêtir des habits de leurs épouses...
Cette inversion des rôles entre hommes et femmes bouleverse gaiement l’ordre établi où règne la répartition inégale et rigide des pouvoirs entre les sexes, qui bride l’épanouissement de tous.
La mise en scène de cette “Assemblée des femmes” fera dialoguer librement la comédie d'Aristophane avec des textes empruntés à l’actualité des mouvements féministes contemporains.
 

Distribution

  • adaptation et mise en scène Géraldine Benichou
  • scénographie Amandine Fonfrède
  • costumes Marie-frédérique Fillon
  • lumière Thomas Chazalon
  • son Yannick Vérot
  • avec
  • Cécile Auxirre-Marmouget
    Magali Bonnat
    Sylvain Bolle-Reddat
    Jean-Philippe Salerio
    Claire Semet
  • photo ©Henri Granjean

Dates

  • Jeudi 24 mai 2012
    à 19:30
  • Vendredi 25 mai 2012
    à 20:30

Tarifs

  • 13.00 €
  • 11.00 €
  • 8.00 €
  • 5.00 €
Réserver des places
attention la représentation du 24 mai est complète
Le féminisme est une aventure collective, pour les femmes, pour les hommes, et pour les autres. Il ne s’agit pas d’opposer les petits avantages des femmes aux petits acquis des hommes, mais bien de tout foutre en l’air. »
Virginie Despentes,
extraits de « King Kong Théorie ».