Odessey & oracle (revue de presse)

The Zombies - Odessey & Oracle

Odessey & Oracle (photo Sylvie Mauris Demourioux)

PRESSE

FRANCE MUSIQUE

“une musique qui prend des risques, qui ose des rencontres improbables. Un des albums les plus excitants de l'hiver”
Christophe Crénel

The Drone

“C'est de la pop baroque comme plus personne n'en fait et c'est super. (…) Odessey & Oracle, nouveau groupe folichon originaire de Lyon et auteur de l'album Odessey & Oracle And The Casiotone Orchestra qui perpétue la tradition d'expérimentation sauvageonne dans la pop des années 60. Ça donne un album de 17 morceaux de pop chiadée et ravissante, qui vous fera peut-être penser avec émotion aux Recovery Tapes d'Orval Carlos Sibelius et à The Yes Album des Yes, au Penguin Café Orchestra, à la musique qui aurait très certainement dû accompagner Merlin L'Enchanteur.”
Lucie Monpontet

TSUGI

“Quand un trio de lyonnais décide de prendre pour nom le chef-d'œuvre des Zombies sorti plus de quarante ans plus tôt, on s'attend forcément à de l'orfèvrerie pop, du travail de précision. Et, étonnament, Odessey & Oracle tient bien ses promesses. Ce qui impressionne d'abord c'est l'ampleur de l'ambition qu'abritent ces dix-sept pistes : cette pop baroque est d'une richesse folle et le trio a mis à contribution quantités d'idées pour faire s'entrechoquer des (instruments oubliés (viole de gambe,, violoncelle baroque, flûtes anciennes…) et une ambition électronique qui confère à cet album la légère touche psychédélique qui le rapproche encore plus à ces idoles de la fin des années 60. Quand les pistes se font plus calmes, que la musique d'Odessey & Oracle tend vers le folk, on découvre aussi une troupe aux goûts sûrs et aux vocalises (tour à tour féminines ou masculines) abouties. Odessey & Oracle sait aussi surprendre, ouvrant par exemple “I Saw My Mother” sur un space-trip noir ou avec le très liturgique “Night of The Tacky Toys”. Odessey & Oracle est un ovni sur la scène française et malgré quelques longueurs sur une fin qui part dans tous les sens, on ne peut que les remercier de ne rien faire comme les autres.”
François Blanc

Longueur d'Ondes

“Naviguant entre les âges avec une précision et un souci du détail extrêmes, il réussit le pari à l’aide de son Casiotone Orchestra de nous faire écouter pour la première fois depuis longtemps quelque chose de neuf et expérimental. Chapeau bas !”
Julien Deverre

 

Les inrockuptibles : La découverte du lab

Les expérimentations du trio ne se résumant pas à une rupture extrême avec le style de leurs aînés, il s'applique plutôt à recombiner des détails et à en varier les arrangements avec subtilité. Le disque vient de sortir chez CARTON Records, un tout petit label avec de grandes idées.
Abigaïl Aïnouz


Noisey Vice

Des espèces de tarés complètement hors de l'histoire m'ont envoyé un lien vers leur album cette semaine. Je leur aurais bien répondu, mais je ne maîtrise pas le vieux françois des troubadours du Midi. Attention, ce truc fait passer Dorian Pimpernel pour des punks lo-fi.
Pierre Jouan

Magic rpm

“Les références convoquées sont davantage celles des années 60 et la valorisation de l’expérimentation. (…) L’ensemble, à la fois spartiate et varié, sonne de manière assez originale et enthousiasmante.”
Magic rpm

Benzine

Notre trio propose ici un amour de disque soyeux et raffiné, de la pop de chambre délicate aux sonorités à la fois lo-fi, baroques et médiévales qui lui donne cette originalité et ce côté un peu décalé mais tellement appréciable. Benoit Richard

 

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