notes d'intentions
Fille de
Fille de n’est pas un réçit autobiographique c’est une autofiction. Mettre en scène cette écriture c’est faire de l’espace scénique le lieu où se rejoue le passé.
Leïla Anis est seule en scène, comme chacun de nous est seul face à la mémoire des événements déterminants de son passé. Leïla est multiple, elle redonne corps et voix à ceux qui peuplent son histoire, elle est son petit frère, sa mère, son père, sa sœur, elle fantasme les mots et les dialogues jamais prononcés. On ne sait plus ce qui relève du réel ou de la fiction, mais qu’importe, l’essentiel est que la parole est le chemin vers la liberté de vivre ce qu’on a choisi de devenir.
Antony Gatta, percussionniste et compositeur accompagne en direct les répétitions pour créer au rythme du texte et de la mémoire de Leïla, un univers sonore et musical conçu comme un voyage intérieur qui nous conduit de l’Afrique de l’Est à nos univers urbains.
Denis Couvet, scénographe et graphiste, et Richard Fontaine, éclairagiste et concepteur scénique, conçoivent un espace visuel virtuel dans lequel se dessinent les décors transposés d’une mémoire qui se cherche et se réinvente.
Leïla Anis est seule en scène, comme chacun de nous est seul face à la mémoire des événements déterminants de son passé. Leïla est multiple, elle redonne corps et voix à ceux qui peuplent son histoire, elle est son petit frère, sa mère, son père, sa sœur, elle fantasme les mots et les dialogues jamais prononcés. On ne sait plus ce qui relève du réel ou de la fiction, mais qu’importe, l’essentiel est que la parole est le chemin vers la liberté de vivre ce qu’on a choisi de devenir.
Antony Gatta, percussionniste et compositeur accompagne en direct les répétitions pour créer au rythme du texte et de la mémoire de Leïla, un univers sonore et musical conçu comme un voyage intérieur qui nous conduit de l’Afrique de l’Est à nos univers urbains.
Denis Couvet, scénographe et graphiste, et Richard Fontaine, éclairagiste et concepteur scénique, conçoivent un espace visuel virtuel dans lequel se dessinent les décors transposés d’une mémoire qui se cherche et se réinvente.
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