Mendelson et la presse

Errances / Mendelson

une couverture dans les tons ocres et gris , matière minérale et matière aérienne se cotoient
la couverture du dernier album

les inrocks.com

L'article dans son intégralité

Mendelson : triple album phénoménal
Silencieux depuis 2007, Mendelson revient avec un triple album noir et épais, phénoménal. Critique.

(…) Cet album sans titre s’ouvre sur un beat synthétique lent, semblable à un battement de cœur. Ce motif, plus ou moins perceptible, court jusqu’au bout. Autour de lui s’articule une musique qui explore les territoires de l’abstraction déjà envisagés de façon ponctuelle dans Personne ne le fera pour nous, dans des directions proches, mais avec plus de radicalité que sur L’Imprudence d’Alain Bashung. La musique soutient le texte dit, raconté, plutôt que lu ou joué, lentement. Pour laisser le silence, où le rythme cardiaque se meut en points de suspension, dresser une toile orageuse et grisâtre en décor à des histoires d’humains déçus.
Au cœur des paradoxes de ce disque se trouve son inattendue accessibilité. (...)
Depuis ses débuts, Mendelson prend son temps. Ses albums sont des propositions totales. Celui-ci, si beau, si parfaitement réalisé, si monumental soit-il, n’a rien d’un aboutissement ou d’un point d’orgue. Plus que jamais, l’avenir est devant.
par Nicolas Chapelle
le 07 juin 2013 à 16h39


RifRaf

Dans sa discipline de travail intérieur, d’extraction et de sublimation, Mendelson s’avance parmi les gisants et accouche d’un triple album colossal. Dans son creuset de population, le rock et la langue fusionnent libérés des formats. Écriture blanche, compositions rouge sang, exigence exemplaire, Mendelson regarde l’époque, la dévisage sans ciller et l’auditeur de vaciller : le rock français est debout. Nous aussi. (...)

http://rifraf.be/fr/issue-190-mai-2013/


Télérama.fr

Dans un triple album aux paroles crues, Mendelson confirme qu'il a trouvé son propre ton.
On aime beaucoup
De la génération des Miossec et Dominique A, Pascal Bouaziz est le benjamin secret, pas le moins estimable. Depuis une vingtaine d'années, il mène la barque Mendelson avec une lenteur non calculée. Contre vent glacial et loi du marché. Personne ne le fera pour nous, double album de 2008, pouvait, devait ouvrir une brèche. Ne l'a pas fait. N'a pas trouvé sa case (rock textuel ?). Alors, au lieu de composer avec l'adversité, le fier Bouaziz insiste, enfonce le clou. Met la triple dose et appuie là où ça fait mal, au quotidien....
François Gorin - Telerama n° 3305
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France Inter, ouvert la nuit


Magiccrpm.com

(chronique d'album)
Personne ne Le Fera Pour Nous de Mendelson

Un des morceaux les plus bouleversants du nouvel album de Mendelson s’intitule La Honte... lire la suite
Etienne Greib


Magiccrpm.com

"L'écriture de Pascal Bouaziz sculpte au scalpel les esprits. Sombres mais pleines de vie, ces poésies changées sont de celles qui restent dans les têtes. Un grand moment d'humanité et de simplicité"... Que ce soit par fainéantise ou parce qu'on n'arrivera pas à faire mieux, voici reproduits les quelques mots qui prrésentent sur ce site officiel la future performance de Mendelson à l'Archipel (Paris Xème) ce samedi 12 décembre.
La prestation du "meilleur groupe français au monde depuis trois albums"Etienne Greib c'te fois) se tiendra dans le cadre de la dernière journée du festival Musique & Littérature, qui a déjà accueilli Tue-Loup la semaine dernière. Le projet  Novecento pianiste devancera l'arrivée du trio français.