sois patient... / presse

Richard Galliano / Sois patient...

les saluts de l'équipe artistique. Catherine Delaunay au centre  de l'image
l'equipe de création de Sois patient.

 Poésie du grand large et de l'ivresse...

“Catherine Delaunay a présenté une création autour des textes de Malcolm Lowry, avec la participation de John Greaves. Cette poésie du grand large et de lʼivresse convient tout à fait à la voix et à la manière de lʼancien bassiste du groupe “Henri Cow”. Le beau travail dʼécriture minutieux et sensible, de la clarinettiste, a fait le reste. Beaucoup de chaleur et dʼaffection dans cette présentation, qui en appelle dʼautres, dont la distribution est superbe avec Isabelle Olivier (harpe), Thierry Lhiver (tb) et Guillaume Séguron (ctb).”
Jazz Magazine - Philippe Méziat - 12 novembre 2009 -
Rencontres Internationales DʼJazz de Nevers -


La musique et la poésie, un mariage qui coule de source...

“Une taverne, un lampadaire, une lanterne... le décor est minimaliste.
Dans une ambiance intimiste, le Palot accueillait mardi (10 novembre 2009) la première de “Sois patient car le loup”, ou la mise en musique de poèmes de Malcolm Lowry. Cʼest au travers de ses textes que Catherine Delaunay (clarinettes, accordéon) faisait découvrir cet auteur anglais, dont lʼoeuvre la plus connue reste “Au dessousdu volcan”. Elle signe des arrangements riches, à la tête dʼune formation clarinette, trombone, contrebasse et harpe, aussi originale quʼinvitant à lʼonirisme. La musique et la poésie, un mariage qui coule de source et dont le point de convergence reste le chant. Ici, cʼest John Greaves qui prête sa voix rauque, “mélange de Gainsbourg et de Tom Waits, de titi parisien et de gentleman anglais”. (...) Les poèmes, bien que traduits, préservent la concision et lʼefficacité de la langue originelle, son rythme, sa musicalité, la manière de juxtaposer les images mentales. Quelques danses improvisées de quelques zouaves en goguette, et John Greaves chausse de nouveau le micro pour un “Épitaphe” totalement dingue. “Tʼécris Malcolm Lowry / Vétéran du Bowery / A la prose fleurie / Quoi quʼun poil assombrie / Qui travaillant de nuit / Parfois de jour aussi / Toquant ukulélé Périt.” “More is less”, isnʼt it ?”
LʼEst Républicain - 14 novembre 2009
Le Palot - Scène nationale de Montbéliard


Un quintette superbe et délicat...

“ (...) La clarinettiste Catherine Delaunay a choisi dʼadapter en chansons des écrits de Malcolm Lowry dans sa création « Sois patient car le loup » interprétés par le bassiste John Greaves (ex-Henry Cow, ex-National Health, etc.), ici uniquement chanteur, au sein dʼun quintette superbe et délicat avec Thierry Lhiver (tb), Isabelle Olivier (harpe) et Guillaume Séguron (ctb). Un univers sonore et poétique extrêmement tendu, raffiné et sensible, grâce à son instrumentation singulière, en particulier dans lʼassociation des cordes de la harpiste et du contrebassiste. ”
Les dernières nouvelles du jazz - décembre 2009 -
Rencontres Internationales DʼJazz de Nevers


Cʼest un cabaret des histoires venues des cinq cents diables...

(...) La mer est dans une échappée de la toile du fond de scène. Une tâche bleutée dans la beauté lépreuse – pour cela il suffit dʼune artiste de talent : Isabelle Meunier, créatrice de cette oeuvre décor – des murs pages au papier passé sur lesquelles lʼécriture aborde à une taverne, se heurte à des immeubles pauvres à lʼheure où le jour se lève, est masquée par la silhouette (ou son ombre) dʼun homme, béret vissé sur la tête, qui marche à grandes enjambées vers on ne sait où. La taverne, le port ou son destin ; tous ont partie liée chez Malcolm Lowry (...).
John Greaves est la voix de Malcolm Lowry, partie intégrante du petit orchestre conduit par CatherineDelaunay (clarinettes et accordéon), Isabelle Olivier (harpe), Thierry Lhiver (trombone), Guillaume Séguron(contrebasse).
Cʼest un cabaret des histoires venues des cinq cents diables dites par un poète sorti de la «terrible usure du jour » (...)
La musique a cette beauté empruntée aux instruments des pauvres, des orchestres ambulants choisissant un lieu de passage pour faire la manche (...) Compositions subtiles où joie et mélancolie dansent de concert (...)”
DʼJazz de Nevers “Au jour le jour” - Michel Pulh - novembre 2009 -
Rencontres Internationales DʼJazz de Nevers -