lettre à Hélène
Monsieur Clément ou ...
Ma Chère Hélène,
Il y a déjà un an, un an exactement je vous avais écrit et je vous avais dit que, si vous acceptiez, je voudrais tout quitter pour vous retrouver. Mais je ne sais pas si mes lettres sont arrivées jusqu’à vous car ici la mer emporte tout. Pourtant je voudrais que vous compreniez que dès que je le pourrai, je vous rejoindrai ; mais quelques petits ennuis m’empêchent de réaliser ce projet. L’oiseau Octave, héritage de mes parents vient de tomber malade assez gravement. Mais ce petit problème sera bientôt réglé. Alors je pourrai tout laisser pour vous retrouver et si cela vous plaît, je vous emmènerai écouter la plus belle des musiques, je veux parler du chant des baleines bleues de l’Antarctique.
Ma chère Hélène, ne m’oubliez pas !
Clément,
le gardien du phare qui vous aime.
13 janvier 1945, du phare de l’océan
ps : Ma chère Hélène, ne m’oubliez pas !
Il y a déjà un an, un an exactement je vous avais écrit et je vous avais dit que, si vous acceptiez, je voudrais tout quitter pour vous retrouver. Mais je ne sais pas si mes lettres sont arrivées jusqu’à vous car ici la mer emporte tout. Pourtant je voudrais que vous compreniez que dès que je le pourrai, je vous rejoindrai ; mais quelques petits ennuis m’empêchent de réaliser ce projet. L’oiseau Octave, héritage de mes parents vient de tomber malade assez gravement. Mais ce petit problème sera bientôt réglé. Alors je pourrai tout laisser pour vous retrouver et si cela vous plaît, je vous emmènerai écouter la plus belle des musiques, je veux parler du chant des baleines bleues de l’Antarctique.
Ma chère Hélène, ne m’oubliez pas !
Clément,
le gardien du phare qui vous aime.
13 janvier 1945, du phare de l’océan
ps : Ma chère Hélène, ne m’oubliez pas !
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