Imperial Quartet Pulsar

Imperial Quartet / Das Kapital

imperial quartet sur scène
Imperial quartet en concert

Gérald Chevillon

saxophones basse, ténor, soprano
Il fait des études de musique classique à Valence (étude de musique baroque et DEM de saxophone classique). Il choisit ensuite de découvrir et approfondir la musique traditionnelle française et la musique improvisée, à travers plusieurs rencontres artistiques. Il croise ainsi Laurent Dehors, avec qui il effectue ensuite un grand nombre de concerts au court des dix dernières années, au sein des formations « Tous Dehors », « Laurent Dehors Trio », «Concerto Grosso », avec Mathew Bourne et le quatuor Habanera, du théâtre musical «La Flûte Enchantée», du projet sur l’opéra «une petite histoire de l’opéra» (création 2011).
Il développe depuis vingt ans activement son duo de recherche autour des saxophones avec Damien Sabatier, depuis la création du trio «Achile Blik» jusqu’au quartet «Impérial Quartet». Il a enregistré très récemment le projet «Is that pop music?» de David Chevalier en compagnie de David Lynx, Yves Robert, Denis Charolles et Cristophe Monniot. Il compose et interprète de la musique pour le théâtre. Il se produit avec les Histrions (mise en scène Richard Mitou) et Radio Clandestine (mise en scène Dag Jeanneret) dans le réseau des scènes nationales. Il va créer prochainement les musiques du cabaret sur Hanock Levin « les Numéros » (mise en scene R. Mitou) au Printemps des comédiens en juin 2012, «Tambours dans la nuit» (mise en scène Dag Jeanneret) et participer à la prochaine création avec orchestre symphonique de Laurent Dehors à l’automne 2012 « Les sons de la vie ».
Gérald Chevillon, membre du collectif «Jazz en Languedoc-Roussillon», est en résidence pour la prochaine création d'Imperial Quartet "Pulsar" à la Scène Nationale de Sète et du Bassin de Thau


Damien Sabatier

saxophones baryton, alto, sopranino
Il suit l’enseignement du saxophone avec JP Bouvatier à Valence (dem classique) puis de Jacques Helmus à Lyon (dem jazz). La rencontre avec Gérald Chevillon sera le fil conducteur de son parcours musical jusqu’à aujourd’hui. Attiré par les aventures collectives, il rencontre Étienne Roche en 2001 et depuis, il participe à la plupart de ses projets.
Actuellement, Le Grand Bal Des Cousins. Il intègre la Cie Musicabrass (« l’écume des rues », « les fabulations de l’écho », « Rue MeuR »).
En 2002, Laurent Dehors l’invite à rejoindre l’orchestre Tous Dehors.
En 2006 l’expérience de Marteau commence, aujourd’hui devenu Marteau Matraque, membre du collectif Charles Obscure. Il participe aussi aux activités du Libre(s) ensemble au sein du rézeau muzzic.Il a aussi joué avec La Marmite Infernale de l’ARFI, le projet « SYA » de François Merville et Moussa Hema, Mobile de Luis Vina, le Groupe F, ou l’Ensemble Justiniana de Charlotte Nessi. Avec A. Leymarie, G. Chevillon et Rémy Poulakis (accordéon et chant), ils imaginent une version réduite de l’orchestre à danser : Impérial Orphéon.
Damien Sabatier est en résidence avec Impérial Quartet à la Scène Nationale de Sète et du Bassin de Thau en 2012/2013, lauréat Jazz Migration AFIJMA 2012 avec Impérial Quartet, et va participer à la prochaine création avec l’orchestre symphonique de Laurent Dehors à l’automne 2012 « Les sons de la vie ».


Joachim Florent

contrebasse, basse électrique
Il fait des études scientifiques à l'INSA de Lyon d’où il sort avec un diplôme d’ingénieur.
En parallèle il se forme à l'école nationale de musique de Villeurbanne puis au C.N.S.M. de Paris où il suit l'enseignement de Riccardo Del Fra et obtient un D.F.S. de Jazz et Musiques Improvisées. Il remporte en 2007 le 1er prix d'instrumentiste au concours national de jazz de la défense. Contrebassiste sans concession, il met volontiers en question le rôle de son instrument. Toujours en recherche de nouveaux horizons sonores, il co-fonde le trio jazzcore JEAN LOUIS, les groupes RADIATION 10 et MeTaL-O-PHoNe au sein du collectif COAX. Il travaille aussi avec des musiciens finlandais au sein des projets BELFIN Quartet et WHITE LIGHT. Sur la commande d'Armand Meignan, directeur de Jazz au Mans et de l'AFIJMA, il crée cette année un solo de contrebasse au festival Jazz au Mans. Il accompagne aussi Michel Portal pour le « Michel Portal Acoustic Tour », en compagnie de Benjamin Flament. Joachim Florent est en résidence avec Impérial Quartet à la Scène Nationale de Sète et du Bassin de Thau en 2012/2013 et lauréat Jazz Migration AFIJMA 2012 avec Impérial Quartet.


Antotnin Leymarie

batterie , objets, percussion
1er prix de percussions au conservatoire du 10e, et 1er prix de jazz et musiques improvisées au conservatoire de Paris. Après une tournée de trois ans avec "Les Colporteurs" à travers le monde (2000- 2003), il mêle une activité prolixe de compositeur à celle de musicien et initiateur de projets.Soucieux de porter la pratique collective de l’improvisation sur scène, il fonde le Surnatural Orchestra. Il a joué dans TTPKC et Le marin, Gapsard la nuit, Wildmimi Antigroove Syndicate, Tous Dehors, Jean Marie Machado sur le projet « la fête à Bobby ». Antonin Leymarie, par sa longue pratique et sa connaissance des musiques traditionnelles africaine, est à l'initiative de la rencontre d'Impérial Quartet avec Ibrahima Diabaté, "Imperial Pulsar".
Il compose, joue et réalise les musiques pour la compagnie de théâtre « Louis Brouillard » de Joël Pommerat : « Pinocchio » «Je tremble », « Cercle /Fictions » « Cet enfant », « Ma chambre froide », Cendrillon »...
Il continue aujourd’hui une tournée internationale avec le cirque des Colporteurs « Le fil sous la neige » et travail sur la prochaine création en résidence à Vidy-Lausanne été 2012. Antonin Leymarie est en résidence avec Impérial Quartet à la Scène Nationale de Sète et du Bassin deThau en 2012/2013 et lauréat Jazz Migration AFIJMA 2012 avec Impérial Quartet.



Ibrahima Diabaté

De l’ethnie Kassonké, cadet d’une famille de griots des plus anciennes et des plus réputées du Mali, Ibrahima Diabaté dit Bourama, apprend à jouer du tambour comme on apprend à  parler. Il excelle très tôt et très naturellement dans la pratique du doundoun, instrument considéré comme l’essence des rythmes en pays mandingue.
En 1991, il intègre le Ballet National du Mali où il développe un style de jeu moderne et novateur. Apprécié par les cantatrices phares de la scène malienne telles, Kandia Kouyaté, Dédé Kouyaté, Tata Bambo, il devient leur accompagnateur privilégié. Ibrahima connaît alors une ascension fulgurante et devient la référence de la nouvelle génération qui s’inspire de son jeu et de ses «phrasés».
Grâce à cette notoriété, il accueille des élèves de tous pays avec lesquels il affine sa pédagogie.
Attiré par de nouveaux horizons musicaux, ses huit années au ballet l’amènent à s’orienter vers l’Europe. Après s’être installé en Belgique où il dispense son enseignement, Ibrahima monte l’ensemble Les Tambours du Mali afin de promouvoir au-delà de ses frontières, les chaudes traditions festives de son pays.
Attiré par de nouveaux horizons musicaux, après huit années passées au ballet national, Ibrahima s'oriente vers l'Europe où il dispense son enseignement. Il monte le groupe Balima percussion avec Julien André afin de promouvoir au-delà de ses frontières les chaudes traditions festives de son pays.