Centre culturel Charlie Chaplin
Place de la Nation
69120 Vaulx-en-Velin

tél : 04 72 04 81 18

Dis pas ça

| Lydie Salvayre

l'image du spectacle, une bouche cousue, métaphore du silence imposé
Bouche cousue

A travers le tricotage de deux textes de Lydie Salvayre, la quête commune de deux femmes : donner un sens à leur vie dans un monde où l'absurde et l'incohérence poussée jusqu'au grotesque côtoient allègrement "le bien-pensant" moralisateur. A travers le parcours de Rachel et d'Elodie qui questionnent nos démocraties, les propos ricochent, se répondent et finissent par fusionner.
Lydie Salvayre nous tire de nos comas et nous place face au miroir de nos lâchetés.
Son parcours littéraire est un appel à la résistance, un contrepoids à "la pensée rase, la raison qui dessèche, les logiques qui tuent". Elle ne mâche pas ses mots mais nous les donne à savourer.
A travers son écriture cinglante, son ironie mordante, elle danse avec la parole, virevolte en lançant au passage un joli pied de nez aux styles littéraires qu'elle manie avec une sensuelle dextérité.
Son style coloré entre rouge et noir ne manque ni d'humour ni d'une certaine ironie féroce, ça grince, certes, mais avec beaucoup d'élégance.

Joséphine Caraballo.

Distribution

  • texrte Lydie Salvayre
  • extraits de Contre et de Dis pas ça
  • Mise en scène Joséphine Caraballo
  • Musique Philippe Berthe
  • Chant Patricia Moreira
  • Vidéo Pierre Jacob
  • Coiffure et maquillage Philippe Annepicque
  • costumes Angelina Herrero
    Josephine Caraballo
  • lumières Gilles Chatard
  • Merci à Centre de la Voix
    Théâtre Astrée
    Jean-Philippe Salerio
  • interprétation Joséphine Caraballo
    Marie-Aude Christianne

Dates

  • Vendredi 4 novembre 2011
    à 20:30
  • Samedi 5 novembre 2011
    à 20:30

Tarifs

  • 13.00 €
  • 11.00 €
  • 8.00 €
  • 5.00 €
Réserver des places
Veillons à ne pas attirer l’attention des voisins. Les murs ont des oreilles. Faisons nos petits crimes dans la plus stricte intimité. Nos petits crimes familiaux doivent rester notre propriété privée.
Lydie Salvayre