Tigran Hamasyan presse

Mirabassi / Tigran Hamasyan

la pochette de l'album red Hail du groupe Aratta Rebirth
Aratta rebirth

"Jeune talent fougueux et intrépide pour les uns, nouvelle star du piano à la technique démoniaque pour les autres : ce musicien ne laisse personne de marbre. (...)
Avec son nouveau groupe aratta Rebirth, le pianiste met le cap sur une expérience plus collective. Un changement radical, donc, parfois plus rock, aux influences  arméniennes plus affirmées, un art de la mélodie encadré par des rythmes ravageurs.
Un programme parfois vigoureux (certains tempi sont enivrants de vélocité; on pense aux climats de Chick Corea), mais un projet homogène, un album construit et pensé de bout en bout (...)Le groupe constitué de jeunes musiciens de Los Angeles sonne collectif et tous sont des surdoués polyvalents qui bousculent les codes et mêlent avec un naturel déconcertant interludes hard-rock et codas débridées. Derrière des
apparences polymorphes, Hamasyan présente un ouvrage de haute couture qui n'a rien d'un fourre-tout. Juste cette nécessité de s'exrimer au travers de multiples tempéraments aux couleurs plurielles et radicalement modernes."

Jazz magazine
- février 2009 -
Christophe Huber

« Le concert de Tigran, c'est un voyage dans une quatrième dimension. On est embarqués vers des rivages inattendus. On passe de Satie ou Bach à Art Tatum et Coltrane, du traditionnel arménien au swing le plus majestueux, en passant par Robert Plant et Jimmy Page...C'est époustouflant, mais c'est surtout époustouflant de maîtrise et de profondeur. (...) C'est l'expression très personnelle d'un artiste qui
techniquement n'a rien à envier aux plus grands et qui offre au public son oeuvre, sans retenue. Tigran en outre a su s'entourer d'un groupe de musiciens bourrés de talent qui rendent cette oeuvre encore plus cohérente, encore plus lumineuse et dense. (...) Et il y a le jeu de scène de Tigran, sa présence incroyable. Tigran bondit, virevolte, entre, sort, chante. Et quand il est à son piano, il passe d'une position complètement
refermée à la Glenn Gould, aux sautillements les plus exubérants d'un hard-rocker.
Mais rien n'est exagéré, tout est sincère, vrai, généreux. Bref, un très grand Monsieur pour un très grand concert!

Le Jazzheure -
mars 2009
(journal des festivaliers)



« Un côté « peur de rien » dans la manière de s’emparer de Monk en le saupoudrant d’une pincée homéopathique de reggae. Culottées aussi ces intros qui vous percutent au plexus par le recours à des claviers inattendus ou à des métriques chantées. A vingt ans pile au moment de l’enregistrement, le pianiste arménien épate par son lyrisme. Au bout du compte on reste impressionné qu’une personnalité se dégage aussi fortement. Ce que dit New Era, c’est que ce garçon est une nature et qu’il ne se laissera pas brider. Pour l’instant, et c’est déjà exceptionnel, on assiste à l’éclosion d’un grand».

Jazzman
Alex Dutilh –
Novembre 2008


« Tigran…déboule dans le paysage jazzistique avec une féroce virtuosité et l’énergie inhérente à sa jeunesse…Solidement encadré dans sa fouguese enteprise par la rythmique des frères Moutin, le jeune pianiste est promis à un bel avenir »

Libération
Novembre 2007